Une scène de ce film qui m’a fait mourir de rire.
Le mec est infidèle et incapable de satisfaire au lit sa femme et sa maîtresse. Une nuit, sa maîtresse, exaspérée par son impuissance, lui a dit quelques vérités cinglantes. Tellement frustré, il a décidé de mettre fin à ses jours en prenant une dose excessive de Viagra. On l’a retrouvé son corps presque sans vie mais avec son bangala dressé. À quoi bon être infidèle si tu es mode POUSSER DEMARRER ?
Ce film nous fait comprendre que les mensonges, c’est comme la loterie et souvent quand ça ne passe pas, la honte qui s’en suit est très vilaine.
Pourquoi dans nos films africains, les maîtresses n’ont pas d’activité rémunératrice, tandis que les femmes au foyer ont un emploi ou un business à gérer?